Nous sommes à la marina de bas du fort. La vie facile, encore une fois. Pas besoin d'annexe pour te déplacer, les restos le soir sans problème pour revenir au bateau. Nos amis, le voilier Matéo, sont ici, petit apéro sur leur bateau et souper au resto hier soir. Grâce à eux, nous sommes sur le bout d'un quai et nous pouvons rester là, il n'y a plus de place à la marina. Nous faisons aujourd'hui les douanes, le ravitaillement de bouffe, l'entretien des winchs et des toilettes, la vérification du gréement de Matéo, l'achat de maille de chaîne pour rallonger la chaîne, car ici, nous mouillons dans 50 pieds d'eau et plus, chose inhabituelle pour nous.
La dernière semaine de voile depuis la Martinique a été des plus difficiles pour le gréement et les navigateurs. Nous avons eu des vents de 25-30 noeuds soutenus et de grosses vagues. Ce fut une navigation très orageuse, il fallait se tenir à deux mains pour ne pas passer par dessus bord. J'ai quand même réussi à me faire projeter et j'ai atteri assez douloureusement, j'ai été béni de ne pas me casser une cote ou deux. J'ai quelques bleus, ça ne fait pas changement. Je n'arrête pas de me cogner les genoux sur les cadres de portes ou dans les marches d'escalier. Heureusement, tout est rond et en bois.
Les mouillages, malgré leur beauté apaisante n'étaient pas de tout repos. Gros roulement toute la journée et la nuit, bourrasque de vent qui nous tenait éveillé une partie de la nuit afin de surveiller l'ancrage, cris dans la nuit de bateau qui chassait, heureusement pas devant nous. Alors, pour cette raison, je vous le dis, la marina, c'est du bonbon.
Nous avons fait du beau snorkeling aux Saintes, souper avec nos amis hongrois, Norbert, Noémi, et leur deux magnifiques garçons, Aron et Vincent. Nous retournons demain aux Saintes avec Matéo et ensuite à nous la Dominic avec sa forêt luxurinante et ses petites rivières à explorer. Nous devons être de retour ici le 9 février afin de prendre à bord nos amis tant attendu Pierre et Johanne. Gros bisous à vous deux en attendant. Norm a bien hâte, il sera en vacance, Pierre sera notre capitaine, tout un capitaine je vous le dis.
Je vous quitte pour les choses plus sérieuses, le café et la baguette terminés. Bonne journée!
La dernière semaine de voile depuis la Martinique a été des plus difficiles pour le gréement et les navigateurs. Nous avons eu des vents de 25-30 noeuds soutenus et de grosses vagues. Ce fut une navigation très orageuse, il fallait se tenir à deux mains pour ne pas passer par dessus bord. J'ai quand même réussi à me faire projeter et j'ai atteri assez douloureusement, j'ai été béni de ne pas me casser une cote ou deux. J'ai quelques bleus, ça ne fait pas changement. Je n'arrête pas de me cogner les genoux sur les cadres de portes ou dans les marches d'escalier. Heureusement, tout est rond et en bois.
Les mouillages, malgré leur beauté apaisante n'étaient pas de tout repos. Gros roulement toute la journée et la nuit, bourrasque de vent qui nous tenait éveillé une partie de la nuit afin de surveiller l'ancrage, cris dans la nuit de bateau qui chassait, heureusement pas devant nous. Alors, pour cette raison, je vous le dis, la marina, c'est du bonbon.
Nous avons fait du beau snorkeling aux Saintes, souper avec nos amis hongrois, Norbert, Noémi, et leur deux magnifiques garçons, Aron et Vincent. Nous retournons demain aux Saintes avec Matéo et ensuite à nous la Dominic avec sa forêt luxurinante et ses petites rivières à explorer. Nous devons être de retour ici le 9 février afin de prendre à bord nos amis tant attendu Pierre et Johanne. Gros bisous à vous deux en attendant. Norm a bien hâte, il sera en vacance, Pierre sera notre capitaine, tout un capitaine je vous le dis.
Je vous quitte pour les choses plus sérieuses, le café et la baguette terminés. Bonne journée!
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